Vérifiez-en l’extérieur et le moteur

Vous vous dites peut-être que la vérification de l’extérieur est la partie la plus aisée, d’autant plus que tout vous sautera aux yeux si jamais il y a des défauts. Imaginez un instant que vous êtes devant une belle voiture récemment peinte. Vous vous dites chanceux, car en plus d’être à bon prix, le véhicule vient d’être doté d’une peinture toute neuve. Méfiez-vous ! Cela peut vouloir dire que la voiture a eu un accident et le propriétaire cache les dégâts sous des couches de peinture. Le problème, c’est que la carrosserie est peut-être refaite entièrement, mais il est difficile de juger l’ampleur et la gravité des dommages subis. Surtout, prenez le temps d’analyser minutieusement le moteur et de la mécanique.

Examinez la voiture sous toutes les coutures

Surtout, lorsque vous devez aller examiner la voiture, faites-le de jour pour qu’aucune imperfection ne vous échappe. Puis, procédez à l’analyse de l’intérieur, l’état des plastiques ou des cuirs, des tissus, des moquettes, etc. Ensuite, ne manquez pas de comparer les kilométrages inscrits sur le carnet d’entretien et celui sur le tableau de bord. Vérifiez le frein à main, la climatisation, mettez le moteur en marche et écoutez son bruit, roulez pour voir le comportement de la voiture lors des freinages. Soyez attentif au passage des vitesses et voyez comment réagit l’embrayage. Si possible, demandez à faire un test sur plusieurs types de routes.

Un cliquet vers le haut ou vers l’arrière

Ce type de bruit indique un mauvais réglage des carburateurs. Cela se manifeste généralement par l’augmentation de chaleur entre la queue de soupape et le culbuteur. Trop d’avance à l’allumage peut aussi causer le bruit vers le haut tout comme la mauvaise qualité du carburant. Pensez aussi à vérifier la bougie. En outre, le problème est lié à l’embrayage si le cliquet est vers l’arrière.

Un cognement vers le bas

Il se peut que vous entendiez des bruits de cognement irritants vers le bas du moteur. Vous devrez prévoir de grosses réparations si ce genre de problème apparait surtout si vous n’intervenez pas rapidement. Le problème peut être causé par l’apparition d’un jeu au niveau de la liaison du vilebrequin et de la bielle. Dans ce genre de situation, il vous est recommandé de remplacer au plus vite les coussinets. Sinon, vous serez obligé de remplacer l’embiellage en entier.

Un bruit de crécelle à l’avant

Ce genre de bruit est généralement causé par la détérioration de la chaîne de distribution de la moto. Cet élément se met alors à frotter avec le carter et peut finir par causer d’importants dégâts. Cela peut se manifester au niveau de la chaîne ou du carter ou les deux en même temps. Il se peut que la chaîne saute au-dessus des dents des pignons. Cela entrainera une cassure et entrainer la mise en contact des soupapes avec les pistons.

Un bruit de sirène à l’arrière

La moto commence à émettre des bruits de sirène quand vous roulez ? Cela peut être causé par un manque d’huile ou une défaillance de la boîte de vitesse. Notez que le bruit peut changer du changement de rapport et de la vitesse que vous engagez. Votre mécanicien peut aussi déceler l’usure du pignon ou d’un roulement.

Une déclaration de cession est-elle si utile ?

Une déclaration de cession est très utile, car elle atteste la transmission d’un véhicule d’une personne à une autre. Cette démarche sert de preuve du transfert du véhicule vers son nouveau propriétaire. Dès lors que la déclaration de cession est effectuée, un véhicule appartient à 100 % à son nouvel acquéreur ou bénéficiaire et celui-ci pourra alors immatriculer ce véhicule à son nom, c’est-à-dire faire établir la carte grise dont il est à présent le titulaire. Sans ce sésame, le nouveau propriétaire n’a aucune possibilité de procéder à l’immatriculation du véhicule à son nom. Il est à noter que la déclaration de cession d’un véhicule est nécessaire lors de la vente ou du don d’un véhicule. Même si un véhicule est destiné à la destruction, cette déclaration de cession reste obligatoire. En d’autres termes, le certificat de cession, qu’il est possible de demander sur www.portail-cartegrise.fr, valide le transfert de propriété du véhicule.

Bref, une déclaration de cession est indispensable si on vend un véhicule à un tiers, si on en fait don à un tiers (un ami, un collègue, un neveu ou autres), et si on vend ou donne son véhicule pour destruction. Déclarer la cession de son véhicule est donc une formalité officielle imposée par la loi. Sont concernés par cette obligation les véhicules terrestres motorisés tels qu’un scooter, une moto, une voiture et un camion, mais également une remorque dont le PTAC est supérieur à 500 kg et une caravane dont le poids total autorisé en charge est supérieur à 500 kg.

Les raisons de procéder à la déclaration de cession d’un véhicule

L’acheteur ou le bénéficiaire du véhicule peut demander le changement de propriétaire sur la carte grise, à condition que la déclaration de cession soit faite dans les règles. En effet, le vendeur ne peut conclure la vente sans cette déclaration de cession. L’acheteur de son côté ne peut entrer en possession du véhicule en l’absence de cette déclaration. C’est au moment de la transaction que le vendeur doit remettre à l’acheteur le certificat de cession. Mais ce n’est pas le seul document à transférer au nouveau propriétaire, il faut aussi lui remettre le certificat de non-gage du véhicule (ou le certificat d’immatriculation) ainsi que le procès-verbal de contrôle technique.

Bien que les procédures administratives peuvent être parfois contraignantes et prendre du temps, celles concernant la déclaration de cession ne doivent pas être négligées. Oui, grâce au certificat de cession, l’ancien propriétaire n’est plus responsable de tout ce qui peut arriver au véhicule. Sur le plan légal, il est dégagé de toute responsabilité par rapport au véhicule, que celui-ci soit impliqué dans un accident ou qu’il ait reçu une contravention. Quelles que soient les infractions que pourrait commettre le nouveau propriétaire à bord du véhicule, le vendeur ne sera plus inquiété. Puis, l’acheteur peut enfin être le véritable propriétaire du véhicule, car il peut facilement obtenir l’immatriculation à son nom. Il peut ainsi utiliser le véhicule comme bon lui semble.

Démarches concernant la déclaration de cession

Qui doit faire la déclaration de cession et quand l’effectuer ? C’est au titulaire du véhicule qu’incombe le devoir d’en faire la déclaration de cession. Autrement dit, c’est celui dont le nom et le prénom apparaissent sur la carte grise qui est le seul à avoir le droit de mettre en vente un véhicule. S’il y a un co-titulaire ou plusieurs, il faut absolument en obtenir sa ou leur signature avant de pouvoir procéder à la vente.

À noter que si le véhicule en question est en leasing, il est tout simplement impossible de le mettre en vente, encore moins le donner ou le céder pour destruction, puisque le propriétaire reste l’organisme prêteur.

En cas de changement de domicile, il faut aussi déclarer ce changement dans un délai de 1 mois. Si cette déclaration de changement d’adresse n’est pas réalisée durant cette période, la vente ou le don du véhicule ne pourra pas non plus se faire.

Concrètement, la déclaration de cession d’un véhicule se fait en trois étapes :
– avant la transaction proprement dite, le vendeur doit imprimer en deux exemplaires le Cerfa 15776.

– au cours de la transaction, lorsque la vente est conclue, les deux parties doivent remplir soigneusement le formulaire imprimé et chacun garde le sien.

– après la transaction, le vendeur doit effectuer la déclaration de cession sous 15 jours.

Multipliez les entraînements

Plus vous ferez des exercices et plus vous ancrez dans l’esprit les diverses règles qui composent le Code de la route. Faites un premier test code de la route en ligne et répétez les jours suivants jusqu’à ce que vous soyez sûr de tout maîtriser. Relisez de temps en temps vos cours afin de vous assurer que vous avez abordé tous les thèmes durant les nombreux exercices que vous avez faits. Faire des entraînements signifie que vous faites le maximum d’exercices dans les conditions de l’examen. C’est un petit sacrifice qui vaut la peine d’être fait si vous souhaitez vous donner toutes les chances de réussir.

Assistez à tous les cours

Soyez patient ! Le code est l’unique cours théorique que vous aurez à suivre pour apprendre à conduire. Le jour où vous vous mettrez aux voitures de courses sur circuit, vous n’aurez que des stages pratiques. Ne vous absentez jamais : assistez à tous les cours donnés par votre auto-école ! Il est facile de vous dire que vous rattraperez en lisant le manuel. C’est là une très mauvaise attitude, car rien ne vaut les explications du moniteur/enseignant. Sans compter que vous pouvez lui poser des questions alors qu’avec votre manuel vous êtes condamné à devoir tout comprendre tout seul. Et plus vous ferez preuve de régularité, plus vous progresserez facilement : vous ressortirez du cours avec une bonne compréhension du thème étudié.

Lisez vos cours une fois à la maison

Une fois chez vous, au calme, et à tête reposée, relisez deux ou trois fois le cours de la séance à laquelle vous avez assisté dans la journée. Puis, relisez une fois tous les cours précédents. Chaque jour, faites une simple lecture de vos cours afin d’imprégner leurs contenus dans votre esprit. La régularité est également ici primordiale. Au final, à force de lire et de relire vos cours, c’est un peu comme-ci vous les avez appris par cœur, mais de manière douce et efficace (il n’y a pas de risque d’oubli ni de mélange). Le principe est simple : tout ce qui est évoqué en cours doit être maîtrisé le jour même.

Faites une lecture attentive et dynamique

En clair, ne lisez pas phrase par phrase. Lisez en vous posant des questions. Quoi ? Comment ? Pourquoi ? Quels risques ? Dans quelle mesure ? Quelles exceptions ? Quelles conséquences ? Ce sont là quelques-unes des interrogations qui devraient venir à votre esprit au moment de la lecture. Surlignez les mots clefs ainsi que les phrases importantes. En lisant ainsi, vous favorisez la compréhension des règles.

Les statistiques

Lorsque dans vos cours vous avez des statistiques, apprenez-les par cœur. Sait-on jamais, vous serez peut-être questionné sur ces chiffres durant l’examen. Et si c’est le cas, sachez que c’est une façon facile d’avoir des points.

Utiliser du bicarbonate de soude

Cette opération peut être réalisée chez soi, car elle est très simple. Pour le réaliser, on a besoin de bicarbonate de soude et d’une éponge. On veille à humidifier l’éponge et d’y saupoudrer une cuillère à souple de bicarbonate de soude. Par la suite, on frotte vigoureusement les phares avec l’éponge additionnée de bicarbonate. Lors que le jauni est parti, on laisse un peu reposé avant de rincer avec de l’eau claire.

Utiliser du dentifrice

Le dentifrice est un produit très facile à trouver à la maison. Il ne permet pas uniquement de nettoyer les dents. Il permet aussi de polir les phares salis. En effet, il ne faut pas minimiser le pouvoir nettoyant du dentifrice. Pour cela, on dépose du dentifrice sur les phares tout en étalant de telle manière à les recouvrir de dentifrice. Pour enlever les tâches, on réalise des mouvements circulaires avec une brosse à dents ou un chiffon. Par la suite, il ne reste plus qu’à rincer et à laisser sécher.

Utiliser un spray anti-moustiques

Le sprat anti-moustique permet de nettoyer efficacement les salissures qui s’incrustent dans les phares. Pour y arriver, il faut se munir d’une chaussette qu’on pulvérisera avec de l’anti-moustique. Par suite, on se servira de la chaussette pour nettoyer lesphares en frottant bien avec.

Procéder à des vérifications régulières

Il est important de vérifier le gonflage des pneus. Ayez comme habitude d’ajuster la pression. Les pneus trop flasques ont une surface de contact plus grande. Ils offrent plus d’adhérence, mais font consommer beaucoup plus de carburant. D’autres vérifications sont également à faire sous le capot. Vous devez notamment voir si le circuit d’essence est en parfait état de marche. Des filtres encrassés font augmenter votre consommation de manière significative.

Adapter une conduite économique

Vous pouvez économiser le carburant en adoptant une conduite soft. Lorsque vous êtes au volant, ayez beaucoup de souplesse dans vos mouvements. N’accélérez que lorsque vous êtes réellement obligé de le faire. Puis, pensez aussi à rouler à une allure lente. Partez tôt de chez vous, ainsi, vous n’aurez pas à appuyer sur le champignon. Si vous avez l’habitude de rouler à 60km/h, passez à 40 km/h. D’ailleurs, c’est la vitesse idéale en agglomération. Anticipez les changements de vitesse pour ne jamais perdre l’inertie de votre véhicule lorsque vous roulez.

D’autres astuces pour rouler éco

La climatisation brule de l’essence ou du gasoil. Pour réduire cette consommation, veillez à ne pas l’allumer que lorsque vous en avez réellement besoin. Parfois, il suffit d’ouvrir les fenêtres pour gagner un peu de fraîcheur dans l’habitacle. SI votre véhicule n’est pas équipé d’un système qui coupe automatiquement le moteur à l’arrêt, veillez à le faire manuellement. Vous épargnerez le prix d’un plein si vous évitez de laisser le moteur tourner inutilement pendant 5 minutes et pendant 4 mois.